Son histoire
Après le bac et une école de commerce en poche, un passage dans l’expertise comptable, René se dirige ensuite vers la Grande Distribution. Après un parcours de 5 ans très formateur chez Décathlon, passé de Responsable de Rayon à Directeur de Magasin, René souhaite quitter la grande distribution pour réaliser son rêve : devenir son propre patron et ouvrir un bar. Il ouvre alors en 2019 les portes d’un nouvel établissement dans la célèbre « rue de la soif » à Rennes : « Monsieur le zinc », où les clients se servent eux-mêmes en bière ou en vin.
René nous avoue avoir toujours eu la fibre managériale : « J’aime bien le contact avec les gens, et je pense que c’est ce qui marche bien dans mes affaires. J’ai toujours eu une fibre plus gestionnaire, ouvrir mon propre établissement était donc la suite logique ».
Son projet professionnel
Mais après avoir goûté à l’aventure de l’entrepreneuriat, René souhaite continuer et ouvrir un deuxième établissement : « Ça faisait quelque temps que je cherchais à racheter une seconde affaire, toujours dans le bar. J’ai eu l’opportunité de racheter « Le Sur Mesure » entre les deux confinements en 2020 avec mon associé Alain, déjà actionnaire dans l’affaire. Il recherchait un nouvel associé, le feeling passait bien entre nous deux, ça s’est fait comme ça ! » précise René. « J’étais très intéressé par l’idée de bosser avec des produits de qualités, sur un nouveau concept et de racheter un bar aussi bien placé ».
Et concernant la question du COVID, René nous avoue ne pas avoir eu de doutes : « Je suis quelqu’un de nature optimiste, je n’ai pas eu de craintes concernant la reprise de l’établissement. Il faut savoir aller de l’avant. On a vécu une mauvaise période c’est vrai, mais tout ça est derrière nous ! »
Après 1 mois et demi passé derrière le comptoir, René nous confie ne pas regretter son choix : « Je suis très content, je côtoie une clientèle d’habitués, de connaisseurs de bières. Mon but aujourd’hui c’est de permettre à mes salariés de bosser dans les meilleures conditions possibles. Je bosse la journée, mais je peux me permettre de me libérer le soir et les week-ends. Je bosse beaucoup, il ne faut pas croire, mais c’est ça aussi la liberté de patron, choisir ses horaires. » sourit René.
Sa rencontre avec F&C
« J’ai rencontré Samuel ANDRÉ par le biais de Mathieu Boucher, chargé d’affaires du Groupe Cap Transactions. J’avais vécu une mauvaise expérience auparavant avec un courtier, je ne cherchais donc pas à refaire appel à un service de courtage pour la reprise du « Sur Mesure ». Mais avec Alain nous avons eu un très bon contact avec Samuel, nous avons donc pris la décision de faire appel à ses services pour nous simplifier la vie et pour avoir de bons résultats. Et les résultats ont été plus qu’escomptés puisque ce n’est pas une affaire que je viens de reprendre, mais deux ! » ajoute-t-il souriant.
Le financement de son projet professionnel
Et on peut en effet dire que le hasard fait bien les choses, il y a quelques mois, lorsque René rachète le bar « Le Sur Mesure », le propriétaire du « Café Landru » à Nantes qu’il avait contacté 3 ans plus tôt le recontacte pour la mise en vente de son établissement. René décide donc de faire une seconde fois appel à Samuel pour l’accompagner dans la stratégie financière de son projet.
« Le projet du « Sur Mesure » a été, sans surprise, très bien perçu par les différents partenaires que nous avons rencontrés. Le choix s’est porté sur la BNP qui offrait les meilleures conditions globales (financement, garanties, fonctionnement de compte…). René, par son rôle de manager et de bon gestionnaire sur ses différentes affaires, a mis en place une organisation stratégique. Cette stratégie et la réussite de ses affaires ont bien entendu contribué à obtenir un second accord de la part de la BNP pour le financement de son projet le « Café Landru » précise Samuel André.
Le 1er aout, René a donc repris les rênes du bar « Le Sur Mesure », devenu la « Maison bar à bière artisanale » et le 15 novembre, celles du « Café du Landru » à Nantes. Une belle aventure entrepreneuriale synonyme de réussite pour ce breton de 32 ans, bien décidé à faire de ses rêves une réalité.